There’s No Place Like a Refugee Camp? Urban Planning and Participation in the Camp Context

Auteurs-es

  • Anne Stevenson Independent
  • Rebecca Sutton Independent

DOI :

https://doi.org/10.25071/1920-7336.36097

Mots-clés :

refugee camps, urban planning, participatory planning, built environments, spatial governance, citizenship, empowerment

Résumé

Les études d’urbanisme des cinquante dernières années ont démontrés que la planification d’établissements humains est un outil potentiel de gouvernance. Il a été également montré que l’organisation active de l’espace peut être un mécanisme d’implication des citoyens et un moyen puissant de créer les cohésions communautaires. Les camps de personnes déplacées localement et de réfugiés sont une forme spécifique d’habitation humaine, correspondant à des espaces créés temporairement « à mi-chemin entre la ville et la guerre ». En se basant sur des théories de planification urbaine, des outils de gestion de camp, et des récits de migrants, cet article explore les dynamiques des relations spatiales entre les résidents de camp et les organisations gouvernementales internationales qui les gèrent. On y montre que cette approche permet de mieux saisir comment se déroule les relations entre les résidents de camp et les agences humanitaires, ainsi que les conséquences que cela implique pour la gouvernance des sociétés dans les-quelles s’installent ensuite ces résidents de camps.

Statistiques

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Publié-e

2012-11-08

Comment citer

Stevenson, A., & Sutton, R. (2012). There’s No Place Like a Refugee Camp? Urban Planning and Participation in the Camp Context. Refuge : Revue Canadienne Sur Les réfugiés , 28(1), 137–148. https://doi.org/10.25071/1920-7336.36097

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