The Material Culture of Chilean Exile: A Transnational Dialogue

Auteurs-es

  • Joan Simalchik University of Toronto at Mississauga

DOI :

https://doi.org/10.25071/1920-7336.21358

Mots-clés :

Chilean exiles, political exile, transnationalism, community, resistance, forced displacement

Résumé

À la suite du coup d’État de 1973, les Chiliens ont réussi à trouver refuge dans plus de 40 pays dans le monde. Partis en croyant n’avoir besoin que d’un asile temporaire, ils se sont plutôt trouvés en exil prolongé. Les Chiliens ont mis sur pied des groupes opposés à la dictature de Pinochet afin de raccourcir l’échéance de leur retour et comme antidote au traumatisme de l’exil. Grâce à des stratégies de résistance déployées dans le lieu présumé du conflit, les communautés chiliennes en exil ont perpétué le souvenir par des pratiques commémoratives s’appuyant sur des formes culturelles, des témoignages et la préservation du matériau culturel menacé. Ces pratiques sont devenues décisives en matière de défense juridique contre l’impunité tout en servant de base à la recherche historique.

Statistiques

Chargement des statistiques…

Publié-e

2006-12-01

Comment citer

Simalchik, J. (2006). The Material Culture of Chilean Exile: A Transnational Dialogue. Refuge : Revue Canadienne Sur Les réfugiés , 23(2), 95–105. https://doi.org/10.25071/1920-7336.21358

Articles similaires

<< < 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 > >> 

Vous pouvez également Lancer une recherche avancée d’articles similaires à cet article.