Un investissement qui porte fruit
DOI :
https://doi.org/10.25071/1920-7336.21065Mots-clés :
CUSO, refugee resettlement, Thailand, Vietnam, universities, CIDARésumé
L'année 1979 aura été celle des réfugiés indochinois. LeService universitaire canadien outre-mer (SUCO) a délaissé son activité habituelIe bien connue qui consiste à envoyer des Canadians qualifiés pendant deux ans dans des pays en voie d'industrialisation pour s'occuper récemment d'aider une partie de ces réfugiés, c'est-a-dire ceux qui ont fui Ie Kampuchea ravagé par la guerre. Un million d'entre eux se sont retrouves dans des abris de fortune à la frontière thaïlandaise. Des camps ont été aménages pour eux, mais ils ont été aussitôt surpeuplés. Comme dans la plupart des cas, ces camps de réfugiés visaient surtout à garder ces malheureux en vie, mais I'esprit d'initiative et le dynamisme ont été peu à peu minés.
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© Maureen Johnson 1981
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